Conformément aux dispositions de l’article 1a du KSchG introduites en 2004, le salarié a droit au versement d’une indemnité de départ s’élevant à un demi-mois de salaire par année de travail si l’employeur met fin au contrat pour des raisons opérationnelles, le salarié ne intente pas de poursuite contre la résiliation. et l’employeur maintient la cessation de la réclamation.
Selon une décision du Deuxième Sénat du 10 mai 2007 ( 2 AZR 45/06 ), le droit à l’indemnité de départ en vertu de cette disposition n’existe qu’à l’expiration du délai de préavis. Si la relation de travail prend fin à un moment antérieur pour une autre raison, la créance n’existe plus et ne peut donc pas faire partie de la fortune transférée aux héritiers conformément à l’article 1922 al. 1 BGB. Cela découle du libellé, de l’historique et de l’objectif du règlement. Dans son arrêt du 19 juin 2006 ( 1 AZR 340/06 ), le Premier Sénat a décidé que la création d’une demande d’indemnité de départ conformément à l’article 1a al. 1 phrase 2 KSchG, si les autres conditions sont remplies, cela n’est pas empêché par le fait que l’employeur informe le salarié dans la lettre de licenciement du montant prévu et que celui-ci est inférieur au montant légal si l’employeur indique également qu’il en veut un Verser une indemnité de départ au montant prévu par la loi.
Cela s’applique indépendamment du fait que la créance résulte d’un acte juridique bilatéral fondé sur une offre de l’employeur qui a été implicitement acceptée par le salarié en laissant expirer le délai d’action, ou d’un acte juridique unilatéral. sur la base d’une déclaration d’intention correspondante de l’employeur, dans laquelle l’expiration du délai de réclamation est considérée comme une circonstance purement factuelle. Si, du point de vue du bénéficiaire, l’indication du montant quantifié sert uniquement à fournir des informations sur le montant de l’indemnité de départ que l’employeur considère comme correct, la déclaration légale de l’employeur correspond à la réglementation légale. La question de savoir si l’indication d’un montant quantifié est purement informatif ou a un caractère juridique doit être déterminée par interprétation. Dans sa décision, le Premier Sénat a en outre déclaré que les réglementations légales collectives visant à compenser les désavantages économiques résultant d’un changement d’exploitation peuvent prévoir la crédibilité des prestations conformément à l’article 1a du KSchG.
Cela ne viole pas la finalité des noms collectifs en question. Les demandes d’indemnités de licenciement selon l’article 1a du KSchG servent également à compenser les désavantages économiques dus à la perte d’un emploi. La réglementation de l’article 1a du KSchG vise principalement à éviter les poursuites en matière de protection contre le licenciement. Toutefois, les moyens prévus par la loi pour créer des demandes d’indemnités de départ pour le salarié licencié ont pour objectif de compenser ou d’atténuer les inconvénients économiques de la perte d’emploi.